Abbaye Saint-Pierre de Solesmes


Situé aux confins du Maine et de l’Anjou, à trois kilomètres de Sablé-sur-Sarthe, l’abbaye de Solesmes s’élève sur la rive gauche de la Sarthe.

La congrégation de Solesmes est l’une des plus importantes congrégations bénédictines du monde. Si ses origines remontent au XIe siècle, elle doit sa renommée internationale au père dom Guéranger, restaurateur au XIXe siècle de l’ordre religieux. Solesmes est aussi la capitale mondiale du chant grégorien qui accompagne chacun des offices. Ces derniers, qui se déroulent dans l’église abbatiale, sont ouverts au public.

L'abbaye dispose d'une hôtellerie qui peut accueillir des particuliers pour des retraites.

Renseignements : abbayedesolesmes.fr



Les imposantes structures de l'abbaye, dominant la Sarthe.



L'église abbatiale et le potager. 



Les sépultures des moines, dans l'enceinte de la « clôture ».



Silence, prière et labeur.



Le grand cloître.



A Solesmes, le silence est d'or.



Les retraitants aussi sont invités à faire silence.



Le Christ asiatique du petit réfectoire.



Le confort épuré d'une chambre de l'hôtellerie.



Icône - Christ Pantocrator - peinte par les moniales bénédictines de l'abbaye Sainte-Cécile de Solesmes.



Le chœur du XIXème siècle, réalisé dans le style du XVème siècle.



La Mise au Tombeau de Notre Seigneur, merveilleux ensemble de la fin du XVe siècle. 



Joseph d'Arimathie & Nicodème.



La Très-Sainte Mère de Dieu, soutenu par saint Jean.



Marie-Madeleine.



Vitrail de Pauline Peugnier : saint Jean l'évangéliste.



Merveille des vitraux traversés par la lumière de dix heures.



Solesmes vit au rythme de la liturgie des Heures.



Pax super Israel ! (« Paix sur Israël ! ») : les derniers mots du Psaume CXXV.



La sensualité brûlante du Cantique des Cantiques, l'un des livres du Premier Testament.



La Très-Sainte Mère de Dieu en « pâmoison », soutenue par saint Pierre.



L'étrange chapelle Notre-Dame-du-Nid, bâtie en 1936 de l'autre coté de la Sarthe.



Notre-Dame-du-Nid, sculptée en 1934 dans un buis millénaire par Raymond Dubois.



Petit démon accroché à la robe de Notre-Dame-du-Nid.



Dans la Cène de Notre-Dame-du-Nid (1936), Judas a les traits d'Hitler. La barbe a été sculptée à la hâte en 1943.



A travers les vitraux de Notre-Dame-du-Nid, l'on aperçoit Saint-Pierre de Solesmes.





Plus d'informations sur abbayedesolesmes.fr



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Demoiselles des bords de Loire

Les demoiselles forment un sous-ordre d’insectes odonates, proches des libellules mais se distinguant de ces dernières par un corps plus fin et un vol plus indolent. Peu farouches, elles se laissent généralement approcher. Le calopteryx éclatant (calopteryx splendens), l’une des espèces les plus communes, présente un fort dimorphisme sexuel. Le sympetrum sanguin appartient à la famille des libellules. Ces spécimens ont été photographiés sur les bords de Loire, près du port de la Possonnière. 



Calopteryx éclatant, mâle



Calopteryx éclatant, mâle



La femelle du Calopteryx éclatant



La femelle du Calopteryx éclatant



Un spécimen de demoiselles : l'agrion 



Un spécimen de libellules : le Sympétrum sanguin

Les Jubeaux : entre Loire et Louet

Niché au milieu d’une étendue de prairies inondables cernées par la Loire et le Louet, le hameau des Jubeaux, chanté par les inénarrables Jean-Pierre & Jean-Claude, a la chance de se tenir à l’écart de la route menant de Saint-Jean-de-la-Croix à Denée, assurant à ses habitants une sérénité de tous les instants. Depuis sa rive ligérienne, on peut surprendre quelques glorieux paysages, notamment les vignes de la Coulée-de-Serrant, la Pierre Bécherelle ou les coteaux pentus d’Eric Morgat derrière lesquels s’élance la flèche de l’église d’Epiré. Grâce aux pluies abondantes du printemps 2013, nous avons été assurés d’avoir toujours les pieds au frais, les chemins s’étant transformés en autant de petits ruisseaux statiques où nageaient têtards, triops et dytiques.


La prairie inondée de Serrant, au nord des Jubeaux



Orge



Caloptéryx éclatant / Calopteryx splendens



Ruisseaux statiques



Votre serviteur a les pieds frais



Le numéro 15



Comme partout, ou presque, en Anjou : la société de boule de fort



L'hypercentre des Jubeaux



Le turbulent Louet



Une inquiétante paréidolie



Saines ruminations sur les bords de Loire






Le Clos Bécherelle d'Eric Morgat





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